GRAPHEINE 2011. TOULOUSE.
Salon du dessin contemporain.
GALERIE LEMNISCATE
Pour Bernard Rousseau la pratique du dessin est intimement liée à celle de la peinture. Au-delà de toute référence de support et d'outil, le dessin est cette étape transitoire qui permet l'immédiateté. " C'est le chemin qui me mêne vers...". Vers une autre temporalité propre au pictural, qui met le visible et le réel à l'épreuve du regard, et a le pouvoir de ralentir, d'opérer une décélération du temps.
Questionner l'ambiguïté du regard, instaurer le trouble, le doute. Entre dessein et désir, cadence et rythme, endroit et envers de l'image, son oeuvre semble se poser comme une frontière, une rencontre. Lorsque l'espace d'un instant, le moment où l'image qui s'efface laisse entrevoir ce qui l'a précédée, et semble alors exister par-delà du temps, dans deux espaces de réalité qui se confondent en une seule vision. Nadia Shoemi, directrice de la galerie Lemniscate, novembre 2011.
"Le temps du retard". 2011-2012: Vue de l'exposition.
"Le temps du retard". 2011-2012.: "Déseter nos maisons", 200 x 280 cm
"Le temps du retard". 2011-2012.: "Habiter les déserts", 200 x 280 cm
"Le temps du retard". 2011-2012.: Vue de l'exposition.
"Le temps du retard". 2011-2012.: Vue de l'exposition.
"Le temps du tretard. 2011-2012.: "The life in the ...", 180 x 300 cm
"Le temps du retard". 2011-2012.: "..Long shadows of war", 180x300cm.
"Le temps du retard". 2011-2012.: "Au secours ...", 280 x 300 cm.
Vernissage de l'exposition.: "...l'espoir revient", 280 x 400 cm
vernissage de l'exposition.
Vernissage de l'exposition.
Vernissage de l'exposition.